Fin du 18e siècle. La Révolution est en marche. Mais l'Angleterre est maîtresse des mers. Le roi de France a recours à des armateurs privés qui offrent à des aventuriers la possibilité de s'enrichir sur le dos de l'ennemi. Ainsi est créée la course en mer. Un acte officiel, la « lettre de marque », en fixe le cadre légal. Les corsaires ne sont pas des pirates : ils ne peuvent attaquer que des bateaux en guerre avec leur pays, ou transportant des marchandises ennemies.\n\nOr, tandis que la guerre navale se déchaîne, un jeune homme s'apprête à quitter Saint-Malo. Il deviendra un héros de légende...\n\nLa terreur des océans et de l'Angleterre… Un symbole de courage, d'audace et d'aventure, dont le nom claque comme une voile au vent… Surcouf ! Le Tigre des Mers ! Le futur « roi des corsaires » ! Et voici qu'un mystérieux journaliste du Times, alors naissant, se lance sur ses traces...
Fin du 18e siècle. La Révolution est en marche. Mais l'Angleterre est maîtresse des mers. Le roi de France a recours à des armateurs privés qui offrent à des aventuriers la possibilité de s'enrichir sur le dos de l'ennemi. Ainsi est créée la course en mer. Un acte officiel, la « lettre de marque », en fixe le cadre légal. Les corsaires ne sont pas des pirates : ils ne peuvent attaquer que des bateaux en guerre avec leur pays, ou transportant des marchandises ennemies.
De schrik van de Britse admiraliteit weet onder het oog van de vijand de Franse kust te bereiken en zal de grootste kaapvaarder worden die Frankrijk ooit heeft gekend. Ballonstrip in kleur. Vanaf ca. 13 jaar.
Fin du 18e siècle. La Révolution est en marche. Mais l'Angleterre est maîtresse des mers. Le roi de France a recours à des armateurs privés qui offrent à des aventuriers la possibilité de s'enrichir sur le dos de l'ennemi. Ainsi est créée la course en mer. Un acte officiel, la « lettre de marque », en fixe le cadre légal. Les corsaires ne sont pas des pirates : ils ne peuvent attaquer que des bateaux en guerre avec leur pays, ou transportant des marchandises ennemies.